mardi 8 avril 2008

Seule sur un banc

Paris, Mars 2008

"Vendredi sept heures la place est vidée
Y a plus de soleil dans les vallées de cette cité
Les ombres des arbres se rejoignent à mes pieds
Comme la marée montante sur le banc des délaissés
J'attends sur le banc des délaissés
J'attends toute seule parmi les milliers
À chaque instant j'espère te trouver
À mes côtés sur le banc des délaissés"

(I. Boulay)