Près de Pérouse, Juillet 2005
"Elle a pourtant fait tout ce qu'elle a pu
Et même ce qu'elle ne voulait pas
Quand tu courrais la nuit la rue
Elle était toujours là
T'attendant à moitié nue
Murmurant ne t'en fait pas
On va reprendre le dessus
Combien t'es beau combien t'es belle
Mais tu ne voyais même plus
Les yeux qu'elle avait pour toi
Quand tu lui gueulais dessus
En racontant n'importe quoi
Et nous médisions entre nous
Qu'elle ne méritait pas ça
Que vous étiez si bons debout
Combien t'es beau combien t'es belle
Allez tu vois bien que tu ne tiens pas debout
Tu devrais rentrer chez toi
C'est pas en t'allumant comme un fou
Qu'elle te reviendra
Et comprends un peu qu'entre nous
On aurait tellement voulu être toi
Que nous regrettions le temps où
Combien t'es beau combien t'es belle"
"Elle a pourtant fait tout ce qu'elle a pu
Et même ce qu'elle ne voulait pas
Quand tu courrais la nuit la rue
Elle était toujours là
T'attendant à moitié nue
Murmurant ne t'en fait pas
On va reprendre le dessus
Combien t'es beau combien t'es belle
Mais tu ne voyais même plus
Les yeux qu'elle avait pour toi
Quand tu lui gueulais dessus
En racontant n'importe quoi
Et nous médisions entre nous
Qu'elle ne méritait pas ça
Que vous étiez si bons debout
Combien t'es beau combien t'es belle
Allez tu vois bien que tu ne tiens pas debout
Tu devrais rentrer chez toi
C'est pas en t'allumant comme un fou
Qu'elle te reviendra
Et comprends un peu qu'entre nous
On aurait tellement voulu être toi
Que nous regrettions le temps où
Combien t'es beau combien t'es belle"
(Miossec)
4 commentaires:
chouette image!! j'aime bien
Entre le vieux pêcheur et "ça" j'hésite un peu ... hum
Le texte did, le texte...
Tu sais quoi hein ma belle...
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