"Vendredi sept heures la place est vidée
Y a plus de soleil dans les vallées de cette cité
Les ombres des arbres se rejoignent à mes pieds
Comme la marée montante sur le banc des délaissés
J'attends sur le banc des délaissés
J'attends toute seule parmi les milliers
À chaque instant j'espère te trouver
À mes côtés sur le banc des délaissés"
(I. Boulay)
1 commentaire:
joli
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