Près de Pérouse, Aout 2006
Mes angoisses, mes astreintes, mes affres, mes envies
Des terres inconnues, des contrées fascinantes
Des âmes perdues, des brises enivrantes
Dehors il y a les peines, les rêves oubliés
Les heures, les secondes, les nuits d’éternité
Les amours déçus, les passions déchirées
Ce que je n’ai pas pu ou n’ai pas su aimer
Et dehors il y a toi
Qui m’attends une dernière fois
De ma geôle insensée tu t’es envolé
De mes peurs, entravée, tu m’as laissée
Ta main tendue en un ultime espoir
J’y glisse un baiser, futile, dérisoire
Je te vois t’éloigner vers un autre destin
Un demain sans carcan qui ne sera pas mien…
(Moi)
Dehors il y a mes craintes, mes dérives, mes folies
Mes angoisses, mes astreintes, mes affres, mes envies
Des terres inconnues, des contrées fascinantes
Des âmes perdues, des brises enivrantes
Dehors il y a les peines, les rêves oubliés
Les heures, les secondes, les nuits d’éternité
Les amours déçus, les passions déchirées
Ce que je n’ai pas pu ou n’ai pas su aimer
Et dehors il y a toi
Qui m’attends une dernière fois
De ma geôle insensée tu t’es envolé
De mes peurs, entravée, tu m’as laissée
Ta main tendue en un ultime espoir
J’y glisse un baiser, futile, dérisoire
Je te vois t’éloigner vers un autre destin
Un demain sans carcan qui ne sera pas mien…
(Moi)
2 commentaires:
joli mais quelle tristesse dans le texte
quelle mélancolie!!
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